Gala's blog | Pourquoi j’ai arrêté de prendre la pilule ?
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Pourquoi j’ai arrêté de prendre la pilule ?

Il y a un an, je décidais d’arrêter la pilule après 6 années de prise de contraceptif hormonal. Le cheminement a été très long pour moi, cela m’a pris près d’un an et demi pour prendre la décision de l’arrêter. J’ai eu peur, j’ai longuement hésité et je me suis finalement lancée …

Ces réflexions sont bien sûr personnelles et n’engagent que moi !

 

Pourquoi je ne voulais pas arrêter de prendre la pilule ?

 

J’avais beau avoir un mode de vie au maximum bio et naturel, j’ai eu beaucoup de mal à arrêter la pilule, aussi chimique et nocive soit-elle. J’ai toujours été une très bonne élève de la pilule. D’ailleurs en 6 ans, j’ai du l’oublier seulement 2 fois. Cette petite bille rose faisait partie intégrante de mon quotidien.

Je ne voulais pas arrêter la pilule car elle m’apportait un certain confort :

  • J’ai commencé à la prendre pour contrer mon acné et avant tout, j’avais surtout peur de retrouver cette peau qui m’a fait honte pendant tant d’années.
  • Avant de prendre la pilule, j’avais des cycles affreusement compliqués. Non seulement les douleurs étaient affreuses, mais en plus, pendant une longue période, j’ai eu de terribles nausées : je vomissais du réveil jusqu’au coucher le 1er jour de mes règles. La pilule a éradiqué ces douleurs et autant vous dire que je redoutais au plus haut point de les retrouver.
  • Par ailleurs, j’ai lu tellement de choses négatives sur l’arrêt de la pilule sur internet. Des expériences de blogueuses catastrophiques, tant au niveau de l’acné que des cycles compliqués, douloureux et irréguliers mais aussi des cheveux gras, des poils qui poussent en abondance … Ca laissait franchement à désirer.
  • Et finalement, j’avais terriblement peur de tomber enceinte. Je me sentais ainsi en sécurité lorsque je prenais ma pilule.

En vous listant tout ça, je me rends compte que j’associais vraiment la pilule à un sentiment de bien-être, de confiance et de sérénité.

 

Pourquoi j’ai décidé d’arrêter la pilule ?

 

Malgré tout, l’idée d’arrêter la pilule a fait son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je tiens à préciser que si je sais que la pilule est mauvaise pour la santé, j’ai toujours refusé de me renseigner à fond sur les effets secondaires les plus dangereux. Je n’ai pas envie de me faire peur “inutilement”, dans le sens où si je l’ai arrêtée, je l’ai tout de même prise pendant 6 ans ce qui représente un risque non négligeable …

  • Même si je n’ai jamais trop voulu me renseigner, je savais tout de même que la pilule était dangereuse pour ma santé et rien que le fait de le savoir me perturbait. Le seul fait de voir passer les titres de certains articles a suffit à me faire peur (voilà pourquoi je n’ai pas besoin d’approfondir le sujet !).
  • J’ai malheureusement été témoin chez deux personnes de mon entourage (de mon âge) d’AIT et de phlébites dus à la pilule. Cela ne m’a absolument pas rassurée quant à la prise quotidienne de ce cachet …
  • Mon chéri m’a demandé à plusieurs reprises de l’arrêter et il ne comprenait pas pourquoi je continuais de prendre cette saleté. Cela m’a beaucoup aidée et encouragée dans mon cheminement.
  • Je savais que la pilule régissait mes hormones, mais je n’ai jamais réalisé que cela impliquait donc qu’elle régissait fatalement mes humeurs. Et cela m’a troublée d’apprendre que je n’étais – à ce point – pas maître de mes émotions.
  • Le coût de la pilule (celles que j’ai prises n’étaient pas remboursées) a lui aussi pesé dans la balance.
  • A la base, je prenais la pilule Diane 35 (anti-acné) et elle me convenait très bien. Lorsqu’elle a été interdite, j’ai non seulement flippé mais j’ai surtout du en changer. Je n’ai jamais réussi à retrouver de pilule qui me convienne. J’ai du en changer tous les 4 à 6 mois car j’avais à chaque fois de nombreux effets secondaires difficiles à supporter. Cela m’a mis la puce à l’oreille sur le fait que la pilule n’était pas faite pour moi … Au bout du 4ème changement de pilule, j’ai commencé à en avoir un peu marre …
  • En parlant d’en avoir marre … Prendre un comprimé tous les jours, pendant 6 ans, c’est vraiment pénible. Le principe de devoir y penser chaque jour à la même heure m’a rendue dingue sur la fin. Et je ne parle même pas du stress perpétuel de l’oublier (ça me réveillait parfois la nuit …). Bref, je trouvais que c’était beaucoup trop (et je me mettais aussi une pression énorme).

Edit : J’ai oublié d’en parler mais bien entendu, la question des tests sur les animaux est au centre de toutes ces réflexions sur l’arrêt de la pilule. L’idée de contribuer au bien être économique des labo pharmaceutiques a aussi pesé lourd dans la balance.

Tous ces inconvénients ont eu le dessus sur les avantages de la pilule et j’ai donc finalement décidé de l’arrêter. Comme j’avais peur des effets secondaires de l’arrêt de la pilule, j’ai mis pas mal de solutions naturelles en place pour les contrer. Je vous raconterai tout cela dans un prochain article pour ne pas que celui-ci soit trop long : ce que j’ai fait et si oui ou non cela a fonctionné (je vous donne un indice : oui) !

 

Prends ta pilule et tais toi !

 

Sur le principe, la pilule m’agace. Elle est censée apporter à la femme une certaine émancipation. Oui, dans un sens. Mais je vois surtout que la responsabilité nous incombe encore une fois si jamais nous l’oublions. Tout repose sur nous et s’il arrive une grossesse non désirée, c’est notre faute et on nous culpabilise à fond. Je ne suis pas d’accord. D’ailleurs, j’avais mis une alarme sur le réveil de mon copain qui devait lui aussi penser à la prise de “ma” pilule afin que l’on partage cette responsabilité. Il n’y a pas de raison, non mais ! Combien de mecs j’ai entendu dire qu’ils n’étaient pas contents après leurs copines parce que celles-ci avaient oublié de prendre leur pilule. Ca me met hors de moi. Comme ces pharmaciens/nes qui font la morale aux filles qui viennent acheter la pilule du lendemain (ce que j’ai vécu pour l’une de mes copines qui n’osait pas aller l’acheter et qui a bien fait de m’envoyer à sa place : grosse leçon de morale absolument inappropriée et déplacée). Ca me rend vraiment dingue. PERSONNE n’est infaillible. Et si j’étais très organisée avec la prise de ma pilule, je vois bien que je suis l’exception qui confirme la règle. Autour de moi, absolument aucune de mes copines ne la prend “correctement”. Elles l’oublient tout le temps, tout le temps, tout le temps. Et on nous vend ça comme le contraceptif ultime … Merci, mais non merci …

Ce qui me met encore plus hors de moi que tout ce que j’ai énuméré plus haut : ce sont les mecs qui refusent le préservatif “parce que c’est nul”, et qui exigent d’une certaine façon que leur copine prenne la pilule. Donc en fait, on doit se bousiller la santé, penser tous les jours à prendre notre médoc, se faire incendier si on l’oublie (et si par malheur la pilule faisait baisser notre libido, on se fait engueuler aussi), tout ça parce que certains ont décidé qu’ils refusaient un morceau de plastique ? Ce qui est déplorable, ce ne sont pas les rapports avec capote, c’est le comportement déplacé et affreusement dangereux de certains (oui parce que la pilule est dangereuse).

Personne n’a à décider pour nous si l’on doit ou non se bousiller la santé, surtout pas pour une raison aussi futile et stupide. D’autant plus qu’il existe d’autres contraceptifs que le préservatif et la piluleLa blogueuse Pauline propose elle aussi de belles alternatives sur son blog Douce Frugalité (il faut pas mal scroller pour arriver à la partie sur la contraception naturelle) !

 

N’hésitez pas à consulter cet annuaire si vous souhaitez trouver un.e gynéco “DIU” friendly près de chez vous ! Il s’agit d’un site répertoriant tous les médecins qui ne jugent pas nos choix de vie : sans enfant, gay, problèmes d’addictions …

 

Vous l’avez compris, je ne suis pas partisane de la pilule. En pesant le pour et le contre, je me suis vite rendue compte que les inconvénients étaient trop lourds pour que je la continue !

Et vous, prenez-vous toujours la pilule ou l’avez-vous arrêtée ?

 

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86 Comments
  • Djahann

    5 février 2017 at 17 h 21 min Répondre

    Je pense de plus en plus à l’arrêter, mais je veux quand même être sûre de ne pas tomber enceinte ! Il faut donc que je trouve une méthode de remplacement qui soit fiable.

    • Gala

      5 février 2017 at 17 h 38 min Répondre

      Ca tombe bien il en existe plein :p (mais je comprends tes réticences puisque j’avais terriblement peur aussi) !

    • Marie

      6 février 2017 at 19 h 46 min Répondre

      Super article.
      Je connais cette phase où on a plus qu’envie d’arrêter mais de l’autre côté nous sommes terrorisées.
      J’ai sauté le pas il y a 1 an , je prenais diane également.
      Comment s’est passé cette période pour toi?
      Pour ma part cela a été trés compliqué, entre kystes ofariens, absence de règle et le retour de l’acné. Mais depuis 2 mois mon cycle est régulier, plus de kyste encore de soucis de peau mais cela va mieux.
      Encore merci pour cet article qui permet aussi de se poser des questions sur un médicament dont on oublie parfois les effets néfastes.

  • Marion Sévoumian

    5 février 2017 at 17 h 26 min Répondre

    Je suis d’accord avec cet article mais désormais tu fais comment pour ta contraception ?

    • Gala

      5 février 2017 at 17 h 32 min Répondre

      Je pense de plus en plus au stérilet au cuivre même si les cycles abondants et douloureux me font quand même un peu peur ! Mais je me dis qu’il y a certainement une solution naturelle pour les contrer 🙂 …

      • Quillcut

        5 février 2017 at 20 h 41 min Répondre

        Moi je suis passée au stérilet au cuivre 🙂
        Je prenais la pilule depuis 10 ans (j’en ai 26). J’ai donc arrêté la pilule en août 2015. Mon gentil chéri a patienté (préservatif ou abstinence). Et puis en février 2016 j’ai sauté le pas : ça a duré 10 minutes la pause (incluant le temps de se déshabiller et se rhabiller), c’est pas super super agréable mais c’est VRAIMENT supportable (c’est genre une grosse crampe de règles douloureuse pendant quelques secondes).
        Les premières règles suivants la pause ont été de 5 jours (vs 1 sous pilule!!) mais c’était pas l’inondation 🙂 et depuis mes cycles sont tout à fait cool : très très réguliers (je te conseille l’appli “Clue” pour noter tout ça), alors que c’était pas le cas avant la pilule. Et surtout, ils sont pas particulièrement abondants (5 jours, dont le premier et le dernier très légers, c’est presque du spotting).
        Et puis comme j’utilise la cup, c’est vraiment pas problématique. D’ailleurs la gygy était un peu sceptique pour le mélange cup + stérilet (parait que certaines enlèvent leur cup un peu brutalement et retrouve leur stérilet dedans O_o), mais je suis délicate avec moi-même donc AUCUN souci. C’est la libertéééééé (et monsieur est bien content).

        Prends ton temps 🙂 et bel article qui encourage les femmes à se libérer ! Car forcer les femmes à prendre une contraception, ce n’est pas les libérer… C’est leur faire oublier leur fonctionnement, leur faire croire qu’elles maitrisent, alors qu’elles ne font que réduire au silence leur corps.

        PS : sinon j’ai des amies qui pratique la méthode Billings et ça a l’air vraiment efficace, mais j’ai pas la patience pour l’instant (et un chéri un peu trop impatient). Je serais curieuse d’avoir ton avis dessus !

      • Marie

        1 mars 2017 at 15 h 41 min Répondre

        Il en existe plusieurs. Attention je ne parle pas de méthode Ogino ou de retrait!!! Ces méthodes ne sont pas fiables! En revanche avec un accompagnement et une formation il en existe plusieurs: symptothermie, billings, FertilyCare, MAO qui sont toutes basées sur l’auto-observation. Elles nous permettent de bien comprendre notre corps, notre cycle et parfois de régler des soucis de santé (kyste, cycle irrégulier, etc.). Si on a besoin d’être rassurée il y a le ladycomp. L’un des gros avantages de ces méthodes (outre leur absence d’hormone): l’implication du conjoint! Car oui pour éviter le bébé il faut parfois faire ceinture pendant quelques jours. Toutes ces méthodes ont un site internet. Le seul mot d’ordre pour qu’elles fonctionnent: la formation et la discipline!

  • The Flonicles

    5 février 2017 at 17 h 28 min Répondre

    J’ai décidé de passer au stérilet (mais toujours hormonal) pour réduire la quantité d’hormones. J’ai beau passer en revue les différentes contraceptions qui existent, aucune ne me convient, elles ont toutes des inconvénients non négligeables.

    • Gala

      5 février 2017 at 17 h 36 min Répondre

      Je comprends, c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’ai mis du temps à prendre ma décision (j’ai d’ailleurs oublié de le mentionner). Mais je me suis rendue compte qu’il n’y avait pas vraiment de moyen de contraception parfait, il faut en essayer plusieurs et voir lequel est le moins contraignant ! Je me dis que parfois, on se fait une montagne de certaines choses et finalement dans les faits, ce n’est pas si compliqué qu’on le pensait … Mais c’est une réflexion personnelle et je comprends totalement tes réticences !

  • Helloh

    5 février 2017 at 17 h 44 min Répondre

    Sans compter que toutes les pilules nécessitent ou ont nécessité des tests sur les animaux… pour ma part je l’ai arrêtée il y a un an (après 15 ans de “soumission” à ce cachet quotidien) et je ne me suis jamais sentie aussi libre et “femme” que depuis que je ne la prends plus. J’ai fait 9 mois de stérilet cuivre et niveau règles c’était nickel (moins longues qu’avec la pilule) par contre ça posait problème lors des rapports… Alors depuis 3 mois c’est “à l’ancienne” ! Sans contraception ! Bien sûr il faut avoir un cycle super régulier et bien le connaître, et toujours quelques préservatifs de côté pour les jours où on serait tenté par des galipettes quand je suis “féconde” mais franchement, je ne reviendrai jamais à cette forme d’asservissement qu’est la pilule ! Et je suis ravie de ne plus participer à l’engraissement des entreprises pharmaceutiques !
    Merci pour cet article Gala ! J’espère que ça va décider un grand nombre de filles à faire comme toi !

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 03 min Répondre

      Oui effectivement, je ne l’ai pas précisé mais la question des tests sur les animaux me dérangeait aussi énormément 🙁 … Ravie que tu aies trouvé une méthode contraceptive qui te convienne :). Tout comme toi, je ne reviendrai jamais à la pilule ! Quelle libération depuis que je l’ai arrêtée !

  • Marion - marguette.com

    5 février 2017 at 17 h 47 min Répondre

    Pfiou ton article tombe à pic je l’ai justement arrêté la semaine dernière après des mois de questionnement et d’appréhension… d’ailleurs j’appréhende toujours l’arrivée de mes prochaines règles, je prie pour qu’elles ne soient pas comme avant…
    J’espère pouvoir ensuite passé au stérilet cuivre, si mes règles sans hormones ne sont pas hémorragiques je pense que c’est la solution pour laquelle j’opterai.
    J’attend avec impatience ton article sur les astuces naturelles du coup ☺️
    Bisous!

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 05 min Répondre

      Pour ma part, mes cycles sont réguliers et je n’ai plus de nausées comme avant donc youpi ! Peut-être est-ce grâce à tout ce que j’ai mis en place …
      Je vais vite vite publier toutes mes astuces 🙂 !!

  • Popomme

    5 février 2017 at 17 h 54 min Répondre

    Depuis quelques mois je me posais des questions sur l’effet de la pilule que je prends depuis 8 ans sur ma libido. J’en ai discuté avec mon copain qui a dit que je pouvais l’arrêter si je le souhaitais.
    Rdv avec la gynécologue pour en discuter sauf qu’elle a catégoriquement nié que le problème pouvait provenir de là. Je me suis ensuite renseignée avec beaucoup de temoignages.
    Résultat j’ai terminé ma dernière plaquette mercredi et je vais bien voir comment les choses vont évoluer. J’attends ton article suivant pour voir ce que tu as mis en place et si ca pourrait me servir car comme toi ma pilule je l’ai prise au début pour l’acné 😉

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 12 min Répondre

      On se demande parfois où certains ont fait leurs études 😦 ! C’est affligeant !
      Comme tu as du le lire dans les témoignages, la pilule influence effectivement la libido … Je suis sûre que ça va évoluer vers le positif maintenant que tu l’as arrêtée, il n’y a pas de raison 🙂 ! En tous cas je me dépêche de publier l’article avec toutes mes solutions naturelles 🙂 !

  • Lucile

    5 février 2017 at 17 h 54 min Répondre

    Certaines choses sont vraies dans cet article mais d’autres me dérangent… 🙂

    “La pilule était dangereuse pour ma santé”
    A ce niveau la, tout peut être dangereux a la santé (et je ne parle pas uniquement des médicaments, qui présentent effectivement tous des risques; un grand nombre de produit naturels en présentent également!). Hors, il existe le principe de la balance bénéfice / risque. Vu le nombre d’avantages que vous aviez a la prendre que vous énumérez vous même, il est vrai qu’on réfléchit a deux fois savoir si la prise de pilule est favorable ou non.
    Je ne dis pas, en aucun cas, que la pilule doit être prescrite a toute les femmes: elle doit répondre a un besoin, être adaptée a la demande de la patiente, mais si elle l’est c’est qu’elle n’est pas si “nocive” que ça.

    La pilule régit vos hormones… Oui, pas de doute la dessus… Mais sans pilule.. vos hormones régissent vos humeurs quand même! C’est uniquement une manière de les réguler (et donc d’éviter les cycles irréguliers, douloureux).

    Pour l’histoire du prix… Je ne suis malheureusement pas assez renseignée sur toutes les pilules, la Trinordiol (non remboursée et sans prendre le générique) coute moins de 5€ pour 3 mois; elle est prescrite comme contraceptif mais également pour diminuer l’acné, tout dépend des pilules et de savoir si elles vous conviennent ou pas.

    Je ne prône cependant pas la prise de la pilule a tout prix, et votre article montre bien que vous avez pesé le pour et le contre dans votre décision, cependant les articles critiquant cette méthode de contraception sont trop souvent vides de contenu et font peur a des personnes qui l’utilisent sans aucun problème. Car oui, on voit passer des articles sur les dangers de la pilule et des autres médicaments mais ils sont parfois biaisés : je vous donne l’exemple du récent scandale sur la vitamine D “dangereuse”: l’enfant avait fait une fausse route, un petit pois aurait fait le même effet on ne l’aurait pas interdit pour autant! 😉

    J’ai hâte de lire l’article sur les effets secondaires de l’arrêt car je n’ai jamais pensé a changer de moyen de contraception (sauf pour passer a un implant contraceptif mais du coup marchant sur le même effet) et cela m’intéresse!

    Bon dimanche a vous 🙂

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 32 min Répondre

      Je ne partage pas du tout votre avis sur la dangerosité de la pilule, pour moi et du peu que j’ai lu, elle est très nocive 🙁 … Et je n’ai pas suivi de près l’affaire de la Vitamine D donc je ne peux pas réagir à cette comparaison … Pour le prix, en fait cela dépend des pharmacies et si elles achètent ou non en gros (les labos leur font des prix en fonction des quantités qu’elles achètent). D’ailleurs, je payais Trinordiol le double et Diane 35 me coûtait 30€ pour 3 mois. Alors oui, 10€ par mois ce n’est pas le bout du monde, mais sur le principe, ça me gonflait de payer pour la pilule ! D’autant plus lorsque je me rendais compte que la pilule ne me convenait pas et que je gâchais des plaquettes.
      Effectivement, mes hormones régissent mes humeurs … Mais ce sont mes hormones, c’est naturel, c’est moi … Ce n’est pas la pilule, ce n’est pas quelque chose d’extérieur et ça fait toute la différence 🙂 ! Pour finir, je dirais que oui, j’avais des avantages à prendre la pilule, mais les inconvénients sont devenus de plus en plus lourds et ce n’était plus tenable pour moi. Et aujourd’hui, je suis tellement mieux, je ne regrette absolument pas mon choix 🙂 ! Mais nous sommes toutes différentes et ces réflexions sont bien évidemment personnelles, comme tout ce que je dis sur mon blog 😉 !! J’espère que mon prochain article vous apportera quelques pistes en tous cas 🙂 !

    • Irene

      5 février 2017 at 19 h 25 min Répondre

      Lucile, sans parler de santé mais d’éthique et de droits humains: tout d’abord mettre la responsabilité du risque de tomber enceinte sur la femme, comme le rappelle Gaia, est un premier déséquilibre, et en termes de ‘risque/avantage’ laisse à désirer. Puis: dans le milieu médical on rappelle que la pilule est un MEDICAMENT, et comme tout médicament il ne peut être ‘neutre’ ni ‘sans danger’ pris quotidiennement et sur de si longues périodes. C’est juste un basique mode de raisonnement qui permet de ne pas en douter. Même un simple antalgique pris sur de tels modes et de telles périodes est NOCIF et a des effets pervers sur la santé de celui ou celle qui le prend. Les études le démontrent. S’empoisonner pour diminuer un risque ne fait du poison quelque chose de vertueux ni “d’inquestionnable”. Conseiller un médicament sur un tel mode et une telle période aux femmes revient, même en résolution de problèmes hormonaux, revient à dévier drôlement la balance ‘risque/avantages’, surtout que peu de ‘rééquilibrages’ sont fait auprès des ‘patientes/clientes’ années après années (ce qui amènent certains d’entre nous à utiliser la même pilule des années sans réévaluation hormonale adaptée (parfois jusqu’à ce qu’on l’interdise, ou jusqu’à ce que le producteur le retire du marché pour des problèmes de rentabilité) -> qui peut cautionner un tel risque, même au regard des avantages ? Savoir s’interroger sur quelque chose qui nous est bien utile pour nous empêcher de plus réfléchir me semble rien qu’en soit profitable, et contrairement à ce que tu dis il y a bien des dangers démontrés au principe en soi et à plusieurs de ses applications..malheureusement.

  • Morgane

    5 février 2017 at 17 h 58 min Répondre

    Hello,
    J’en ai pris 2 différentes sur un peu plus de 2 ans. J’ai décidé d’arrêter de la prendre il y a plus de 4 ans car ça m’a provoqué énormément d’effets secondaires : rétention d’eau, palpitations, prise de poids, et pire, dépression. Quand j’ai annoncé à mon gynéco que j’arrêtais, il m’a fait un sermon, comme quoi ce n’était pas responsable de ma part, que si j’avais grossi, c’est parce que j’avais trop mangé… J’avais seulement 20 ans à l’époque et je n’ai pas eu le courage de rétorquer. Il n’a même pas cherché à me proposer d’autres moyens de contraceptions, il m’a prescrit une autre pilule et m’a dit “à la prochaine”. Je ne suis jamais retournée le voir.
    Même si l’arrêt de la pilule a rendu mes cycles totalement anarchiques, je suis bien contente d’avoir arrêté de prendre ce poison quotidien !!

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 15 min Répondre

      Difficile de trouver un gynéco qui ne soit pas “pro pilule” 🙁 … D’ailleurs, mon homéopathe à qui je demande souvent conseils pour mes soucis gynéco n’était pas hyper emballée non plus par le fait que je veuille l’arrêter … C’est dire !
      C’est hallucinant ce qu’il a pu te dire, je suis choquée ! Tu as bien fait de ne jamais retourner le voir et de ne pas l’écouter !

      • Aurelie

        5 février 2017 at 18 h 58 min Répondre

        De mon expérience perso, les sage femmes sont plus à l’écoute et nettement moins “pro pilule” !

  • Nanou

    5 février 2017 at 18 h 04 min Répondre

    Je te rejoins dans ton choix d’arrêter la pilule. Et je l’ai fait il y a plus de 5 ans maintenant. J’ai d’abord opté pour l’implant mais finalement c’était pareil et en plus j’ai pris du poids. Du coup je suis passée au sterilet en cuivre, un petit car je n’avais jamais eu d’enfant. Et je te rassure pas de règles abondantes ni douloureuses pour moi. Et un vrai bonheur de ne plus prendre la pilule tous les jours!

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 03 min Répondre

      Merci beaucoup pour ton témoignage rassurant 🙂 !!

  • Jess

    5 février 2017 at 18 h 14 min Répondre

    Comme je comprend ton ressenti par rapport à la pilule ! C’est la première fois que je vois un témoignage de quelqu’un qui raconte que la peur de l’oubli la réveiller, et ça me fait plaisir car je pensais être la seule que ça faisait psychoter à ce point. Dans mon cas, c’était justifié, puisque je l’oubliais assez souvent malgré des alarmes, et c’était devenu une véritable obsession. J’ai donc voulu changer moi aussi, pour une méthode que je puisse oublier complètement (donc pas une méthode où il faut quand même prendre sa température ou autre), et qui soit complètement remboursée car j’estime que la contraception gratuite devrait être un droit pour toutes. Ces choix limitaient mes possibilités, mais au final ce qui les a le plus limité, ce sont les gynécos. J’en ai vu plusieurs, qui ne comprenaient pas que je veuille changer, se permettaient des jugements à l’emporte-pièce (si j’oublie, c’est qu’en fait mon subconscient m’indique mon désir d’enfant… C’est d’ailleurs pour ça que je me réveille la nuit ; ou alors, c’était “vous êtes mariée, il est temps pour vous de songer à une grossesse et d’arrêter toute contraception ; ou encore “mais vous devriez déjà être heureuse de pouvoir avoir la pilule, nos mères se sont battues pour ça”. Et ben moi j’ai décidé de me battre pour avoir le choix !)
    Donc, après de nombreuses difficultés, j’ai enfin réussi à trouver un gynéco qui accepte de me poser un DIU au cuivre. Malheureusement, cette mthode ne me convenait pas, j’avais des contractions horribles plusieurs fois par jour (et pas que au début, ça a continué pendant plus d’un an, jusqu’à ce que je dise stop). Et du coup mon gynéco a voulu me repasser sous pilule. Je l’ai donc reprise pendant quelques mois.
    ¨Puis le ras-le-bol est vite revenu, j’ai voulu me faire poser un implant, mais pas moyen de trouver un médecin qui accepte (trop d’effets secondaires, parait-il).
    Puis un jour, une copine m’a dit qu’elle avait eu le même problème que moi avec un DI9U au cuivre, mais aucun souci avec un DIU hormonal. Alors j’ai décidé de tester, et là, ça fait un an, et je n’ai aucun souci, j’ai l’esprit tranquille et ça c’est vraiment le top !
    Donc je pense avoir trouvé MA méthode de contraception, c’est pas parfait niveau environnement et effets à long terme sur la santé mais c’est quand même moins pire que la pllule (moins d’hormones libérées dans la nature et dans notre corps, moins d’emballages aussi), alors je pense le garder et le renouveler jusqu’à ma ménopause.
    Tout ça pour dire : on a toutes une méthode de contraception qui nous convient, il faut vraiment trouver la sienne, et ne pas se laisser dominer par le corps médical qui veut décider à notre place. Si la pilule vous convient, tant mieux, mais si ce n’est pas le cas, testez d’autrs méthodes, c’est notre corps, il nous appartient !!!

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 08 min Répondre

      Non non tu n’es pas la seule ^^ ! Je me rends compte que j’étais complètement sous l’emprise de la pilule ! D’ailleurs, pendant 2/3 mois après l’avoir arrêtée, j’avais toujours l’impression d’oublier quelque chose, surtout à l’heure où j’avais l’habitude de la prendre … Insupportable !
      Les réactions des gynécos me rendent folle ! De quoi se mêlent-ils ? Et cette idée que l’on a forcément envie de faire des enfants … Grrrr !!
      Ravie que tu aies trouvé une méthode contraception qui te convienne et pour ces mots très justes : il ne faut pas se laisser dominer par le corps médical et il faut s’écouter 🙂 !

      • Irene

        5 février 2017 at 19 h 36 min Répondre

        🙁 Mesdames, vous soulevez aussi ici un vrai souci qui est le machisme général du corps médical, et pas seulement des hommes dans le corps médical, malheureusement, ajouté au fait que d’une part il y a de moins en moins de sages-femmes car leur métier est peu à peu ‘mangé’ en partie par les médecins, et que d’autre part de moins en moins de femmes de spécialisent en gynécologie. ça fait des années qu’on assiste à “l’hémorragie” _ 🙂 pour le coup…et ça n’aide personne ni le débat publique

  • Kétoupia

    5 février 2017 at 18 h 21 min Répondre

    Merci pour cet article, merci merci ! Il y a quelques années alors que je ressentais un besoin de plus en plus fort d’arrêter la pilule, je désespérais de ne trouver aucun témoignage auprès des blogueuses green, VG et responsables. Je me disais “Mais comment elles font ? Elles ne peuvent quand même pas prendre la pilule, si néfaste pour la santé et l’environnement ! Si seulement elles pouvaient parler de leurs alternatives …”
    Je suis donc passée au stérilet au cuivre, seule alternative qui me paraissait à l’époque fiable et compatible avec un mode de vie sain et éthique, mais j’ai détesté cette contraception au mois autant que la pilule. Mes règles étaient devenues invivables, les rapports douloureux sans compter les spottings et les douleurs qui arrivaient sans prévenir tout au long du cycle… Et puis mine de rien, je continuais à être dépendante du corps médical et des industries pharmaceutiques, puisque j’avais besoin de prendre rendez-vous avec un professionnel pour chaque intervention concernant le DIU. J’en avais marre que ma fertilité soit entre les mains d’autres personnes. J’avais envie qu’on me fiche la paix et qu’on me laisse reprendre le contrôle de mon corps (dont je me sentais complètement dépossédée).
    Du coup je suis passée à la méthode symptothermique, et même si ça a ses inconvénients (mais quelle contraception n’en a pas?), c’est aussi fiable que la pilule si on suit une formation sérieuse et qu’on s’implique à deux. Et puis bon c’est tellement agréable de connaitre suffisamment son corps pour savoir si on est fertile ou pas ! ça a eu un effet assez dingue sur ma confiance en moi et l’amour que je me porte, et le regard que j’ai sur mon propre corps.
    Bred, désolée pour ce témoignage interminable, mais c’est tellement important de rappeler qu’il existe d’autres choix que pilule/DIU/préservatifs !

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 13 min Répondre

      Je me retrouve tellement dans tes mots ! Je n’ai plus envie de dépendre du corps médical non plus et j’avoue que je n’avais pas pensé à ça pour le DIU que j’envisageais. J’ai déjà entendu parler de la symptothermie mais ça me fait peur, pas tant au niveau des inconvénients (comme tu le dis, toutes les contraceptions en ont), mais je ne me fais pas encore assez confiance, j’ai peur de faire des erreurs … Il va peut-être me falloir encore un peu de temps avant de passer le pas mais ce que tu en dis donne envie de tenter l’expérience 🙂 ! Merci beaucoup pour ton témoignage (ne t’excuse surtout pas !!) 🙂 !

      • Anne Sanchez

        12 février 2017 at 18 h 16 min Répondre

        Salut Gala! Comme toi ça va bientôt faire un an que j’ai arrêté de prendre la pilule, et personnellement je revis! Personnellement j’utilise aussi la méthode de la sympto qui me convient bien! Par rapport à tes craintes, il existe une application qui s’appelle “sympto” (gratuite) avec un livre à télécharger sur le site http://sympto.org/data/manual_fr_sympto.pdf
        qui explique toute la méthode en détail (l’indice de pearl est comparable à celui de la pilule. Il y a aussi des conseillères sympto qui sont là pour te guider.
        Si ça t’intéresse, il y a également un groupe fb dédié à la symptothermie: https://www.facebook.com/groups/symptothermie/
        En espérant que ces infos puissent t’être utiles 🙂

  • Myslona

    5 février 2017 at 18 h 32 min Répondre

    Je rejoins un peu Lucile dans son commentaire.
    La pilule peut, certes, avoir de mauvaises conséquences sur la santé, sur l’environnement, sur les animaux… (je pense aux tests sur les animaux, mais aussi au fait que les hormones qui se retrouvent dans nos urines finissent par filer dans les eaux et la mer et ça “dérègle” les animaux).
    Mais… mais pour certaines d’entre nous, la pilule peut être aussi un médicament. Pour moi, par exemple, au bout de 28 ans de règles très douloureuses, mon nouveau gynécologue vient de me diagnostiquer une endométriose. C’est non guérissable mais soignable, et pour le moment, le seul moyen de me soigner est de prendre la pilule. Alors ça ne me plaît pas spécialement pour toutes les raisons que tu cites, mais je profite de ton article pour faire passer un petit message : si vous avez des douleurs importantes, n’hésitez pas à en parler à votre gynécologue pour que vous puissiez faire les bons examens, à temps. Alors oui, (mal)heureusement, je serai sous pilule jusqu’à ma ménopause, pas trop le choix.

    • Gala

      5 février 2017 at 18 h 35 min Répondre

      Je ne connais pas vraiment l’endométriose mais si effectivement la pilule te soulage, je comprends totalement que tu la prennes et je ne juge personne ! Pour ma part, mes douleurs étaient vives (surtout le 1er jour avec ces horribles nausées) et j’avais peur de les retrouver après l’arrêt de la pilule. Heureusement pour moi, ça n’a pas été le cas, mais je suis consciente que j’ai “de la chance” et que ce n’est pas le cas de tout le monde … !

  • Emilie

    5 février 2017 at 18 h 40 min Répondre

    cela fait maintenant 2 ans que j’ai un stérilet en cuivre et j’en suis très heureuse, c’est comme une libération ! je ne sais plus quelle est la marque, mais c’est un stérilet plus court, prévu pour les femmes qui n’ont jamais donné naissance.

    je n’ai pas constaté d’inconvénients, mes règles ne sont ni plus longues, ni plus abondantes. j’ai juste eu mal quelques secondes le temps de la pose.

    j’en ai parlé avec 3 amies qui en avaient aussi marre de la pilule, elles sont allées chez mon gynéco et on a maintenant toutes le même stérilet en cuivre =D

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 15 min Répondre

      C’est chouette de lire ces témoignages sur le DIU, les gynécos français peuvent tellement nous faire douter sur cette méthode de contraception (surtout lorsqu’on est nullipare) ! Merci pour ton petit mot 🙂 !

  • Maeva

    5 février 2017 at 18 h 41 min Répondre

    Merci pour ton article Gala et surtout pour les mots qui décrivent la responsabilité de chacun. Personnellement, j’ai arrêté la pilule du jour au lendemain il y a plus d’un an et demi. C’est lors d’un rendez-vous chez une dermatologue que j’ai eu un énorme ras-le-bol et j’ai tout envoyé valser. Cela faisait des années que je prenais la diane et comme toi, lorsqu’elle a été interdite, on m’a fait changer plusieurs fois. Bizarrement, j’ai commencé à avoir de l’acné en la prenant alors qu’avant ça, j’avais une peau superbe. Pour la dermatologue, la seule solution était de prendre le Roaccutane alors que c’était la première fois que je la voyais, qu’elle n’avait posé aucune question, ni même examiné ma peau (j’ai changé plusieurs fois de médecin mais tous pareils). Aujourd’hui, j’ai une peau terrible alors que j’ai 23 ans et mes règles sont de nouveau très douloureuses (comme toi pour le premier jour) mais je ne lâche rien !

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 17 min Répondre

      Les dermato et Roaccutane … Une belle histoire d’amour !
      Je ne sais pas si tu as déjà envisagé d’aller voir un naturopathe pour ton acné et tes règles douloureuses ? Personnellement c’est ça qui m’a aidée 🙂 !

  • Emmanuelle

    5 février 2017 at 18 h 55 min Répondre

    Je partage complètement ton point de vue. Cela fait 5 ans maintenant que je ne prends plus la pilule et je ne pense pas la reprendre un jour. Ca me fait peur de prendre un cachet qui – dans 5 ou 10 ans – sera retiré du marché car on se rendra compte qu’il est à l’origine de tel ou tel problème de santé…
    En revanche, j’ai des règles très douloureuses et ce n’est pas toujours facile à gérer à ce niveau là ! D’ailleurs, si tu as des astuces naturelles (huiles essentielles ou autre), je trouverais ça super que tu les partages avec nous 🙂
    Bonne soirée 🙂

    • Gala

      5 février 2017 at 19 h 18 min Répondre

      C’est exactement ça … Et pour certaines pilules, on connait bien leurs effets secondaires dangereux mais elles sont tout de même sur le marché …
      Et bien sûr, je vais tout partager avec vous 🙂 ! J’espère que ça pourra t’aider !

  • Aurélie

    5 février 2017 at 18 h 55 min Répondre

    J’ai 39 ans et je suis sous contraceptif oral car à l’âge de 25 ans, une gynécologue m’a diagnostiqué une endometriose. Je n’ai donc plus mes règles depuis des années et j’en suis ravie ! J’ai bien eu des tentatives pendant lesquels j’ai arrêté car je ne voulais plus prendre des hormones mais j’ai vite regreté. Souffrir le martyre pendant mes règles souvent plus d’une semaine, ne plus pouvoir bouger pendant 2 jours (c’est pratique quand tu dois travailler !), j’ai bien vu que les inconvénients immédiats, physique et sociaux, dépassaient largement un potentiel danger pour la santé. De plus, ne plus avoir mes règles m’a probablement évité que l’endomètriose me provoque des problèmes de santé et ne s’attaque à mes organes.
    Après je pense qu’un contraceptif reste une libération pour les femmes. Mais je trouve anormal qu’en France, les gynécologues prônent à tout prix la pilule et ne proposent pas le stérilet aux femmes, même si elles n’ont pas d’enfant. Les médecins, comme souvent, laissent peu de choix aux patientes, ne proposent pas toutes les alternatives et ne laissent pas beaucoup les femmes s’exprimer sur leur craintes sans les faire passer pour des idiotes.
    Donc même si je ne n’ai pas fait le même choix, je trouve ta réflexion intéressante car c’est essentiel que les femmes prennent en mains leur corps et qu’elles ne “subissent” pas leur type de contraception ou son absence.
    Ce choix peut évoluer au fils du temps en fonction de sa vie et de sa santé mais il doit être fait en toute connaissance de cause.

    • Aurélie

      5 février 2017 at 19 h 49 min Répondre

      Je voulais juste rajouter que la contraception reste une libération favorable pour les droits de la femme. Déconnecter la sexualité de la procréation est une évolution positive pour le vie sexuelle des femmes et leur vie tout court. Les calculs sur les cycles demeurent bien aléatoire car les spermatozoïdes ont une longue vie ! Et programmer sa vie sexuelle comme ça, c’est pas très glamour ! Je ne suis pas forcément une pro pillule mais si l’on ne souhaite pas d’enfant, un moyen de contraception reste bien utile.

      • Gala

        6 février 2017 at 13 h 22 min Répondre

        Ton commentaire est très juste et sache que mes réflexions ne prennent pas en compte l’endométriose puisque je n’en souffre pas. En effet, la pilule est le contraceptif n°1 en France puisque cela rapporte beaucoup plus aux labos que la pose d’un DIU. Et la plupart des médecins jouent le jeu, ce qui me dépasse … Pire, en lisant les commentaires, je suis vraiment consternée par les réflexions que certain(e)s gynéco se permettent auprès de leurs patientes ! Je suis d’accord avec toi sur l’importance d’une bonne contraception, et selon moi, la pilule ne devrait pas être aussi généralisée (même si dans certains cas, comme pour toi, elle est indispensable). Pour ce qui est de “programmer” sa vie sexuelle, je ne le ressens pas comme ça mais effectivement, cela peut représenter une contrainte pour certains 🙂 !

    • Astrid

      8 février 2017 at 18 h 01 min Répondre

      Les méthodes de contraception naturelles comme la symptothermie ou la méthode billings sont fiables (études à l’appui) si on est bien formé. Il ne s’agit pas de “calcul” mais d’observation journalière, notre corps nous parle, il suffit de savoir l’écouter. En effet, le cycle féminin évolue, c’est pour cela que cela nécessite une auto observation quotidienne, mais tous les jours du cycles ne sont pas fertiles. Un spermatozoïde vit 6 jours s’il y a de la glaire cervicale, mais s’il n’y en a pas il ne peut vivre que 2h…
      Certes cela demande un peu de rigueur au début, et parfois une période d’adaptation pour bien décoder les signes, mais une fois l’apprentissage fait cela devient instinctif. C’est pour moi la seule manière de gérer sa fertilité de manière autonome puisqu’on ne dépend pas d’une prescription, d’un médecin, d’un labo (et c’est une sage-femme qui parle!)

  • Sylvia

    5 février 2017 at 19 h 39 min Répondre

    Bonjour Gala !
    J’ai pour ma part arrêter la pilule il y a quelques mois, pour passer à la méthode symptothermique. Cette méthode passe par l’observation de sa glaire cervicale, couplée à la prise de température. Une application permet d’entrer ses données et de suivre son cycle au jour le jour, en indiquant quel jour on est fertile, et quel jour non.
    Cela demande certes à un apprentissage de quelques mois, et un peu de rigueur, mais franchement je revis ! J’ai été sous pilule pendant 18 longues années, et la supportais de plus en plus mal. Aujourd’hui, je me redécouvre complètement, je fais vraiment connaissance avec moi-même. J’écoute mon corps, mes ressentis, je ne suis plus éteinte comme j’ai pu l’être. Ma vie de couple connaît également un nouveau souffle, car pendant des années, je n’ai plus eu de libido. Après le premier mois sans pilule, j’en ai pleuré, en me demandant comment j’ai pu me malmener ainsi durant toutes ces années. Aujourd’hui, s’il y a risque, j’utilise un diaphragme. Je ne suis ni pro ni contre le stérilet, mais pour ma part, je ne souhaite tout simplement plus rien.
    Mon compagnon est à fond derrière mois et je lui en suis très reconnaissante.
    C’est merveilleux d’avoir pu se libérer de tout ça en tout cas ! Merci pour ton article, il faut vraiment en parler.

    • Gala

      6 février 2017 at 13 h 24 min Répondre

      Mille mercis pour ton superbe témoignage ! A toutes vous entendre parler de la symptothermie de façon aussi positive, j’ai vraiment envie de m’y mettre 😃 !

  • Marion

    5 février 2017 at 19 h 52 min Répondre

    Bonjour,
    Ton article me parle beaucoup… 1er contraceptif, pilule prise sans en parler à Maman, par peur, par honte. Prescrite par le planning familial du coin, qui ne prenait pas soin de vérifier par prise de sang que cela convenait… résultat, 6/8 mois plus tard, après avoir demandé à ma mère de pouvoir consulter je gyneco, il s’avère que j’ai du cholestérol à un taux…. morbide ! On arrête tout, on change de pilule, puis anneau, puis implant, puis anneau et repassage pilule… bref des années chaotiques où mes cycles étaient à l’inverse de la normale, allant du spotting non stop pour l’implant, à des cycles de 3 semaines règles / 1 semaine tranquille, plus tous les désagréments genre dépression, plus de libido DU TOUT pendant de très longs mois… à me rendre folle et penser que je suis frigide et/ou asexuée… pendant ces quelques années, j’arrête la contraception pendant quelques mois, puis la reprends. Jusqu’en 2013, où après un énième rdv chez ma généraliste, je décide de tout arrêter. Cela fait 4ans que je suis avec mon cheri,si au pire je tombe enceinte, et bien “tant pis” ou tant mieux d’ailleurs. Sauf que. Pour ma part cet arrêt a révélé une endometriose de stade 4, la plus avancée. État que la contraception chimique inhibe. Alors, j’ai de nombreuses douleurs, pendant et hors cycles, des cycles parfois hyper réguliers et parfois non. MAIS pour rien au monde je ne veux reprendre de pilule ou autre corps étranger. Quand on s’intéresse à la bio et au respect de son corps, cela ne devient plus tolérable. Aujourd’hui j’ai 25ans, un nouveau chéri depuis plus d’un an et on ne se protége pas. Je note mes cycles et nous faisons attention en période “sensible”. Pour moi ce sera de tomber enceinte le challenge 🙂 pour en finir, je crois simplement que toute contraception “non naturelle” est nocive, simplement parce que votre corps n’est pas fait pour cela. Que concernant les pb hormonaux, il faut apprendre avant tout à se connaitre, et j’insiste sur ce point. On peut ainsi s’écouter, pour comprendre les messages de notre corps, se reposer, manger mieux, ce qui est la base pour aller bien et prendre des alternatives naturelles pour les douleurs notamment. Et concernant la compréhension de couple, c’est indispensable. Il faut parler, échanger. Que votre chéri se renseigne ou que vous l’aidiez à ça. Ainsi vous pourrez choisir votre contraception (stérilet, préservatif, retrait, calcul des cycles, prise de temperature…), en fonction de ce qui vous correspond le plus.

    Désolée pour le pavé, mais c’est un sujet qui me tient particulièrement à coeur. Bonne soiree

    • Gala

      6 février 2017 at 13 h 26 min Répondre

      Ne t’excuse surtout pas 🙂 ! Merci pour ton témoignage. Je te rejoins totalement dans ces propos : “je crois simplement que toute contraception « non naturelle » est nocive, simplement parce que votre corps n’est pas fait pour cela” ! Encore merci 🙂

  • Amelie

    5 février 2017 at 19 h 59 min Répondre

    Très chouette article !
    Ça va moi même faire un peu plus d’un an que j’ai décidé d’arrêter la pilule. Marre de prendre se cachet bourré d’hormone, ca faisait un moment que je voulais trouver autre chose, mais mon médecin me disait qu’elle me convenait très bien, que je n’avais pas à changer quoi que ce soit.
    Puis je me suis renseignée pour le stérilet cuivre et j’ai beaucoup entendu dire que c’était pas très fiable… et le faite d’avoir un corps étrangé, je n’aimais pas trop l’idée et mon compagnon non plus. Donc on a décidé de revenir au préservatif et tout se passe 😊.
    Mais voulant aller chez le médecin pour essayer de trouver quelque chose pour stopper mes règles lors d’un prochain voyage le médecin que je suis allée voir m’a dit qu’il n’y avait que la pilule pour ça et qu’elle ne comprenait pas pourquoi j’avais arrêté la pilule, car ce n’était pas dangereux ! Et voyant ma peau en ce “moment” car soucis dans mon travail du coup gros problèmes de peau… elle voulait me prescrire la pilule contre l’acné… (alors que ma peau est en train de se calmer vu que j’ai arrêté de travailler pour ces mauvaises personnes).
    Bref tous ça pour dire que j’aime de moins en moins les médecins pour leur façon de penser à notre place. Et qui nous forceraient à prendre des médicaments pour tout.

    • Gala

      6 février 2017 at 13 h 30 min Répondre

      Effectivement, ils sont bien trop intrusifs sur ce sujet et comme toi, ça me gêne énormément (et vu les commentaires, on est loin d’être les seules) ! Heureusement que tu ne l’as pas écoutée pour la pilule contre l’acné, c’est hallucinant !! Tout ne passe pas forcément par la pilule et les médocs 😮 !

  • Galinette

    5 février 2017 at 20 h 36 min Répondre

    Ton article et tous ces commentaires, c’est vraiment top!!
    J’ai pris la pilule pendant un long moment aussi. Je l’ai arrêté quand on s’est décidé à avoir un enfant avec mon homme.
    Après mon accouchement, problèmes de couple aidant, je n’ai pas repris la pilule tout de suite. J’ai voulu mettre un stérilé en cuivre, par 2 fois, mais par 2 fois mon corps l’a refusé : impossible de passer le col. (Une sage femme et une gynéco, qui n’ont rien compris).
    J’ai repris la pilule, par dépit, mais très vite j’ai vu les effets sur ma libido. Le jour et la nuit en moins de 15 jours.
    Entre temps j’ai entendu parlé de la symptothermie, j’ai pris un peu de temps pour en parler avec mon homme, et avec son feu vert, j’ai commencé. J’en suis à mon 4ème cycle. Et comme les témoignages plus haut, je revis.
    Je découvre mon corps, son fonctionnement (et à 31 ans il est grand temps non?), je redécouvre ma libido et franchement je ne retournerais pas en arrière.
    Oui, il y a des contraintes, oui il faut une protection en plus pour les phases à risques (longue chez moi), oui les cycles peuvent ne pas être régulier, on ne peut pas prédire à 10 jours quand on va avoir nos règles par exemple, mais je sais que c’est ce qu’il y a de mieux pour moi.
    Ca peut valoir le coup d’aller t’informer sur le site, de venir découvrir le groupe facebook, pour te rendre compte un peu de tout ça, et si l’envie te vient, tu sera préparée pour sauter le pas.

  • Anne-Laure

    5 février 2017 at 21 h 47 min Répondre

    Bonsoir,

    Ton article me parle tellement ! Après avoir pris la pilule pendant 6 ans avec mon homme nous avons décidé de l’arrêter. Nous soupçonnions déjà depuis plus d’1 an que la pilule me rendait hyper émotive (je pleurais pour un rien, mais vraiment un rien), et je voulais l’arrêter depuis un moment en entendant parler de toutes les saletés que cela comprends. Arrêt de la pilule pour un enfant, et là miracle, plus rien, plus de pleurs intempestifs. Je me retrouve littéralement. Après mon accouchement l’hôpital et ses gynécos me trimballent de pilules en pilules pendant 6 mois (alors que j’avais bien dit qu’après l’accouchement je voulais passer au stérilet en cuivre !). 6 mois, 4 pilules différentes, les larmes en cascades sont de retour, et aucun gynéco ne me croit lorsque je lui en parle. Finalement une super gygy accepte de me passer sous DIU en cuivre. Ça a été parfait pendant 2 ans, quelques gènes pendant les câlins, mais rien de bien grave. Et puis je suis tombée enceinte, avec le DIU. DIU qui a migré on ne sait où, vraiment pas le bon moment pour une autre enfant, gros soupçons d’œuf clair … bref, j’ai fini sur une table d’opération pour une IVG. Après ça j’avoue que je n’étais pas trop pour remettre un DIU. Ayant trop peur de retomber enceinte, je suis repassé à la pilule, les autres méthodes me paraissant moins fiables.
    Aujourd’hui je suis vraiment paumée, après 1 an de reprise de pilule, je continuer à pleurer pour rien, je n’en peux vraiment plus de la pilule (autant pour l’émotivité que pour toutes les saloperies qu’elle contient) et je ne veux pas repasser au DIU, je n’ai plus confiance. Les autres méthodes ne me paraissent pas assez fiables, mon chéri ne supporte pas les préservatifs (vraiment physiquement, c’est une vrai gène), je ne sais plus vers quoi me tourner. J’ai changé de région donc impossible de retourner voir ma gynéco. Bref je suis dans le flou total. Je sais que vous ne pourrez probablement pas m’apporter d’aide mais, ça fait du bien de parler.
    J’ai hâte de lire ton article sur tes méthodes pour éviter les inconvénients de l’arrêt de la pilule et je vais aller de ce pas lire l’article sur le blog Douce Frugalité, qui sait, j’ai trouverai peut-être des pistes !
    En tout cas, désolée pour le pavé et merci pour ton blog, il est top !

  • Morgane

    5 février 2017 at 22 h 36 min Répondre

    J’ai arrêté la pilule pendant 1 an 1/2 et j’ai attrapé de l’acné sévère. J’ai dû reprendre la pilule en plus de traitements dermatologiques pour éradiquer mon acné. A présent, je continue la pilule bien que ça ne me plaise pas. J’ai hâte de lire la suite de ton article pour découvrir un peu quelle méthode naturelle tu as mise en place pour éviter de voir revenir ton acné…

  • Clémence

    5 février 2017 at 22 h 54 min Répondre

    Merci pour ton article ! J’ai arrêté la pilule il y a presque trois ans parce que j’avais tjs des effets secondaires et en plus j’avais du mal a être assidue parfaitement. Je me suis beaucoup questionée sur le stérilet avant de sauter le pas ! Comme toi avant la pilule mes règles étaient douloureuses et abondantes ce qui m’a fait peur… les premiers mois mes règles duraient 9 j au lieu de 7 sans rien et 5 sous pilule sans être bcp plus abondantes et au bout de trois mois tout est revenu à la normale comme sans rien ! (Ps j’avais déjà arrêter la pilule lgt avant la pose et mes règles s’était un peu allongées mais pas douloureuses du tout !)

  • Blue Althea

    5 février 2017 at 23 h 42 min Répondre

    Je te comprends tellement .. Heureusement je n’ai jamais pris la pilule, mais tout les retours que j’ai eu autour de moi sont négatifs, beaucoup ont eu des problèmes de dépression, problème au niveau de la circulation du sang, problème pour avoir des enfants, prise de poids .. bref à la fin c’est un médicament que prennent les femmes tous les jours et un médoc ça à rien de bon pour le corps, surtout pris tout les jours ! Faites attention à vous les filles, tu devrait faire un petit article sur les autres méthodes plus “safe” pour notre santé <3
    Des bisous,
    Blue Althea

  • Megan @questcequetumanges

    6 février 2017 at 8 h 54 min Répondre

    J’ai eu un peu le même cheminement que toi pour la pillule. J’y est réfléchis pendant 1-2 ans avant de l’arrêter. C’était plus pour des raisons écologiques que je n’en voulais plus (polution de l’eau), et aussi le fait que ça devait être testé sur les animaux…

    J’ai arrêté après 7 ans, et j’ai choisi un stérilet en cuivre. La pose à été un peu douloureuse mais cela dépend de chacune. Après oui, les règles sont un peu plus abondantes et douloureuses au départ (moi qui n’avait jamais eu vraiment mal au ventre pendant mes règles (même sans pillule) je découvre ça à 23 ans …). Ça fait 4 mois que j’ai mon stérilet et franchement ca me convient, je me dis que je ne pollue plus l’eau et que le coût est très faible : 30€ + les consultations.

    Je te souhaite bon courage pour la suitr 🙂

  • Julie de Écolorée.com

    6 février 2017 at 10 h 06 min Répondre

    Coucou !

    J’ai moi aussi arrêté la pilule il y a deux ans maintenant en apprenant que les hormones contenues dans le médicament se retrouvaient dans les urines qui elles-mêmes se retrouvaient dans l’eau et changeaient alors le sexe des poissons mâles (dans la Seine notamment c’est une catastrophe écologique).

    Bizarrement, le stérilet m’a permis d’avoir des règles moins douloureuses (sous pilule c’était une horreur) et moins abondantes. Je pense que cela dépend des personnes tout comme l’absence ou non de douleur à la pose (1 femme sur deux dans mon entourage). En revanche, j’ai toujours mes sautes d’humeurs et mes SPM chéris ahah.

    Il y a tellement de méthode, tu trouveras bien la tienne 😉

    Julie de Écolorée.com

  • Anaïs (Green delight)

    6 février 2017 at 11 h 08 min Répondre

    Oh là là, ton article tombe à pic ! J’ai des douleurs vulvaires dont je n’arrive pas à me débarrasser, je pense qu’elles viennent d’une candidose, mais mes cousines qui en avaient se sont soignées avec l’arrêt de la pilule… Elles m’en ont reparlé pas plus tard qu’hier ! Je me retrouve bien dans ton article parce que comme toi j’ai très peur de tomber enceinte (et de ce côté-là la pilule me rassure énormément), et d’autre part elle me convient très bien (cycles réguliers, règles moins abondantes et moins douloureuses…). J’avais déjà entendu parler du Lady Comp, mais je n’ai jamais sauté le pas. Enfin voilà, avec ton article ce matin ça me fait bien réfléchir et j’ai l’impression que c’est un signe quand même ! Du coup j’ai hâte de lire la suite concernant les méthodes de contraception naturelles. Si tu as trouvé une méthode qui convient à ton corps et en laquelle tu as confiance, je suis preneuse du conseil ! En tout cas un grand merci pour ton partage.

  • Marion

    6 février 2017 at 11 h 16 min Répondre

    Coucou Gala !

    Merci pour ton témoignage courageux, et bravo ! De mon côté, j’ai arrêté aussi la pilule il y a deux ans après une dizaine d’années de bons et loyaux services (je suis un peu plus âgée que toi 😉 ) et il n’est pas question pour moi de revenir en arrière malgré des migraines plus douloureuses au moment des règles (et que la pilule pourrait atténuer). Je préfère souffrir un peu plus pendant ces quelques jours que d’avoir recours à une contraception hormonale. Et pour ma part – hormis les migraines plus intenses – je n’ai constaté aucune réaction désagréable à l’arrêt de la pilule, au contraire, je ressens mieux mon corps !

    Belle journée 🙂

  • Aline

    6 février 2017 at 11 h 56 min Répondre

    Article très intéressant. J’ai essayer d’arrêter Diane 35 deux fois. j’en suis aujourd’hui à presque 18 ans de prise de le pilule.
    Mais mes 2 arrêts se sont très mal passés, douleurs épouvantables, cycles déréglés au maximum (style 2 mois sans règle, puis 10 jours de règle, arrêt de 10 jours et reprise sur 8 jours … l’horreur..) et surtout, une deuxième puberté au niveau de l’acné que je n’ai pas du tout assumé.
    Je cicatrise très mal, donc mon menton est redevenu mauve en l’espace de 4 mois …
    Je suis repartie sur la générique de Diane 35 et pour l’instant je n’ai pas le courage d’envisager son arrêt !!!
    Alors certes, ça n’est pas sain, ça n’est pas ecologique … mais des fois, nous n’avons pas trop le choix !!!!

  • julie

    6 février 2017 at 12 h 52 min Répondre

    Oui! Très intéressant.
    Arrêter de prendre la pilule, ça peut aussi, être l’occasion d’apprendre à mieux connaitre son corps!
    Quand l’ovulation est là- et que vous êtes donc en période fertile- des “choses” modifient. Il y a des signes.
    D’une femme à l’autre ces signes peuvent varier, ou voire être inexistants, donc autre solution!
    Ex de signes de l’ovulation : Glaire cervicale translucide. Mal aux seins.
    LA SOLUTION: il existe aussi des petits tests d’ovulation qui vous permettent de le vérifier.
    Je ne parle pas des tests hors de prix de chez clearblue! Mais de tests qui fonctionnent très bien achetés sur Amazon, qui viennent d’ Angleterre. Une petite bandelette que vous mettez dans un petit récipient ou vous avez déposé juste avant un petit peu d’urine. Ces tests fonctionnent très bien!
    J’ai 38 ans, deux enfants. Je n’ai jamais pris de contraceptif! J’ai appris à connaitre mon corps.
    Je rejoins complètement votre point de vue.
    Je vais même être plus radicale… Je n’ai plus du tout confiance en l’industrie pharmaceutique!

  • V

    6 février 2017 at 19 h 29 min Répondre

    Hello! Je risque de répéter un peu les commentaires précédents que je n’ai pas eu le courage de lire intégralement, pardon par avance. Team stérilet au cuivre qui est hyper fiable, et qu’on oublie très vite. C’est un très bon moyen pour ne pas se prendre la tête avec la contraception, aussi pratique que la pilule avec l’inconvénient de la prise quotidienne en moins. Je suis passée à ce mode de contraception après de très longues recherches, ayant toujours refusé de prendre la pilule ou des hormones et j’en suis contente depuis 2 ans.

    Concernant les doubleurs de règles ou l’abondance des règles, cela dépend du mois mais c’est plutôt rare pour moi. Quand les règles sont trop douloureuses ou trop fortes, les tisanes à bases de feuilles de framboisier sont top, j’utilise la Yogi Tea équilibre féminin qui fonctionne très bien sur moi.

    Bon courage dans ce changement !

  • Alizee

    6 février 2017 at 19 h 37 min Répondre

    J’ai pris la pilule pendant 6ans , je l’ai arrêté il y a un an et depuis mes règles ne sont toujours pas revenues 😠😠😠. Plus jamais je n’avalerai cette m……. .
    Hâte de lire à nouveau .

  • Véganisez-vous

    6 février 2017 at 19 h 55 min Répondre

    Merci pour ton article !
    Moi aussi, j’ai arrêté la pilule (depuis juillet) parce que, comme toi, le fait que ça soit testé me gênait énormément mais aussi parce que j’avais remarqué (depuis longtemps) que ma pilule contenait du lactose (et ça doit être le cas pour toutes ou presque, je crois).
    Du coup, je suis en train de réfléchir mais je pense opter pour un implant !

  • Laurie

    6 février 2017 at 22 h 08 min Répondre

    Bonsoir 🙂

    Félicitations pour cet article, je trouve ça vraiment bien d’en parler afin que les femmes comprennent que la pilule n’est pas automatique.

    Je me souviens bien du jour où une personne spécialisée dans les thérapies manuelles et énergétiques “travaillait” sur mon ventre tout en me posant des questions en relation avec l’objet de ma visite (angoisses, stress, perte de confiance en soi, mal être, perte de libido mais aussi profond dégout, eczéma et j’en passe…) a posé THE question “Est ce que vous prenez la pilule ?
    J’ai répondu un peu bêtement que oui, comme tout le monde et imperturbable, elle m’a dit “Je crois bien que vous ne la supportez pas.”
    J’ai eu beau argumenter que c’était la moins dosée du marché, elle a précisé “Vous ne comprenez pas, votre corps ne supporte pas les hormones de synthèses et selon moi, la pilule ne fait qu’amplifier, multiplier vos maux “.

    A ce stade là, j’ai été complètement perdue. Mais je n’avais rien à perdre alors j’ai fini ma plaquette et je n’ai plus repris la pilule depuis 4 ans maintenant. Et jamais, au grand jamais je ne reprendrai ça !

    Ce que je voudrais ajouter, au delà du fait que je me suis sentie beaucoup mieux quelques mois après, c’est que souvent, on ne veut pas arrêter la pilule parce qu’on a peur de faire de l’acné, de grossir, d’avoir des douleurs insupportables etc. Mais ces inconvénients ne sont pas normaux, ils ne vont pas de pair avec les menstruations comme on peut le penser.

    Si notre organisme est “équilibré”, si nos organes ne sont pas en dysfonctionnement, alors les règles ne sont pas censée être une période aussi difficile que ça. J’ai la chance de connaitre une personne qui est praticien en médecine chinoise et qui m’a expliqué comment les organes fonctionnent et interagissent entre eux, comment l’un va influencer l’autre (le coeur et le foie, la rate et les poumons etc) et comment des troubles peuvent se créer si l’un est plus faible. Il m’a toujours répété que ce n’était pas normal d’avoir des migraines, des maux de ventre intenses, des nausées insupportables. Un traitement en pharmacopée (plantes) ou acupuncture peut rééquilibrer l’organisme et effacer les douleurs post-menstruelles. Cela m’aide beaucoup quand je sens que parfois j’ai trop tendance à subir mes règles. 🙂

    Alors peut être que ça pourra aider certaines personnes à arrêter !

    Bonne continuation & bonne soirée !

    Laurie
    @lapetitesecousse

  • Or

    6 février 2017 at 22 h 19 min Répondre

    Bonjour ! Je prends la pilule depuis mes 13 ans (j’en ai 22 aujourd’hui) en raison d’un acné très important. J’en ai testé des tonnes, et bien entendu aucune n’a suffit ! Aujourd’hui j’en ai vraiment marre de la prendre pour “rien”, puisque j’ai toujours des boutons. J’ai vraiment envie de l’arrêter car je subis de plein fouet les effets secondaires (baisse de libido, baisse de tension, tachycardie, prise de poids…), mais tellement peur aussi de voir mon acné s’empirer si j’arrête…. J’ai hâte de lire un prochain article sur comment empêcher cela !

  • Julie

    7 février 2017 at 9 h 59 min Répondre

    Merci pour cet article qui aborde une question qui moi aussi me trotte dans la tête … J’ai passé des années sous pilule mais c’était trop compliqué pour moi de m’organiser avec ce contraceptif car j’avais rarement des horaires stables et j’avais toujours peur de l’oublier.
    Du coup, en novembre 2014, je me suis fait poser un implant contraceptif : au moins plus besoin d’y penser, mais ce système a aussi des inconvénients … En ce qui me concerne, j’ai mes règles tous les deux mois environ, mais elles se poursuivent systématiquement par un spotting qui lui ne cesse pas. Le seul moyen que j’ai trouvé pour l’arrêter, c’est une cure d’ibuprofène pendant cinq jours … Moi qui ne suis pas fan des médicaments, ça me saoule !
    Je suis allée voir mon gynéco la semaine dernière, il m’a prescrit de l’Exacyl pour faire cesser le spotting en cas de besoin et une prise de sang à faire pendant les règles pour savoir si le fait que le spotting ne cesse pas ne serait pas lié à une carence quelconque. J’attends les résultats avec impatience, mais ça me gonfle d’avance de devoir me “médicaliser” autant et je pense que si ça continue, j’enlèverai mon implant et on achètera des préservatifs, point barre !
    C’est quand même dingue qu’à notre époque on soit encore obligés de galérer autant pour réguler tout ça …

  • Claire

    7 février 2017 at 10 h 23 min Répondre

    Je prends la pilule depuis 9 ans et J’ai envie d’arrêter également depuis un petit moment mais je suis pas bien renseignée sur les autres méthodes de contraception… Et ce n’est pas le “moment” pour que je tombe enceinte… Bref, faut que j’approfondisse le sujet !

    Merci pour cet article très intéressant

  • lespetitesm

    7 février 2017 at 10 h 39 min Répondre

    J’ai fait une embolie pulmonaire à cause de la pilule, donc oui évidemment plus jamais d’hormones pour moi ni pour mes filles…
    Et depuis 3 ans, je me connais mieux, je suis en phase avec mes émotions et mes états hormonaux, je suis maitre à bord et ça n’a pas de prix!
    Bises

  • Sayu

    7 février 2017 at 12 h 15 min Répondre

    J’ai aussi commencé avec la Diane35, après 3 ans j’ai commencé à avoir des règles non stop pendant UN AN !!! Ma gynéco m’a fait changer 4 fois de pilule ! Ça n’a rien changé… (Rien décelé non plus quand on m’a inséré une caméra dans les trompes 😧). C’est en allant chez mon généraliste me plaignant de chute de tension (que j’ai tjrs eue, c’est de famille. Mais là vrmt intensifiées) qu’il m’a donné la Cerazette. Il ne faut pas l’arrêter, c’est une qui permet de ne pas avoir de règle et depuis 3 ans je suis débarrassée des affreuses douleurs qui me mettaient K.O et surtout de mes 7 jours minimum de règle ! Je viens de me séparer de mon copain il y a une semaine, ça faisait 5 ans que l’on était ensemble et je n’ai connu personne d’autre. Ma libido a nettement diminuée au file des années mais je ne sais pas si c’est à cause de la pilule ou si c’est moi qui ne suit pas portée là dessus. En tout cas ça ne m’a jamais gênée… C’était surtout pour lui que c’était pénible. Mnt étant célibataire je ne sais pas vrmt quoi faire. L’arrêter ? Alors que j’ai tjrs eu des boutons (même avec la pilule mais vrmt moindre…) J’hésite bcp car la pilule en soit m’a tjrs convenue, je ne l’oubliai jamais… Je suis vrmt perdue du choix que je dois prendre car opter pour quoi d’autre ? J’ai peur des répercutions du changement…

  • aurélia

    7 février 2017 at 12 h 49 min Répondre

    Merci pour cet article ! Je suis passée par le même cheminement que toi, donc j’ai arrêté la pilule il y a 3 ans après près de 20 ans de prise, berk !! Je suis passée direct au stérilet en cuivre modèle short ( c’est possible même si je n’ai pas d’enfants) et en fait depuis, insidieusement, mon fer a chuté de mois en mois, fatigue extrême, perte de cheveux terrible, car mes règles sont devenues abondantes et mes cycles de plus en plus courts. Je suis végétarienne, donc je surveille mes taux de fer, et je fais bien attention alimentairement pour optimiser mes taux, mais là, c’est une catastrophe (sous pilule, mon fer avait tendance à être même trop élevé, et là, malgré une prise de complément alimentaire donnée par mon médecin, mes taux restent toujours à la limite inférieure). Ça me désespère tellement, je pense que je vais devoir retirer le stérilet, donc au plaisir de te lire si tu connais des méthodes naturelles pour réduire les flux de règles, ou d’autres moyens de contraception toujours naturels 😉

  • Manon

    7 février 2017 at 14 h 39 min Répondre

    Je l’ai arrêté depuis environ 8 mois maintenant et je n’ai jamais pris une aussi bonne décision. Je l’ai arrêté en premier lieu pour quelques petits soucis de santé (que l’on Homeopathe à trouvé-car aucun Medecin “traditionnel” ne remet en cause ce médicament…!) mais aussi parce que j’en avais marre de me “polluer” le corps avec de la chimie…! Je suis un vrai retour au naturel en ce moment enfin j’essaie autant que je le peux 😊 Tout ça pour dire que je l’ai arrêté et que je suis très contente. Alors effectivement j’avais oublié ce qu était d’avoir un corps!!! Je me suis mise à ressentir vraiment les choses, je suis à fleur de peau certains jours, je pleur d’autres jours, jai un peu mal au rein… mais franchement rien de bien méchant en comparaison de tous les effets positifs que j’ai eu!!! Justement je retrouve mon corps, ma libido est remonté en flèche, Jeremy sens ultra “femme” comme si mon corps était sorti d’hibernation. Et ça fait un bien fou! Au début ça chamboule. Mais c’est magique!!! Enfin c’est juste la nature en faite, mais je l’avais oublié…! En tous les cas pour rien au monde de je reviendrais en arrière 😀 J’utilise comme moyen de contraception un algorithme qui est calculé en fonction de la température corporelle et des capotes et franchement ça me convient tout à fait… 😊 En tous les cas super article!!! J’attends avec impatience tes astuces naturelles pour lutter contre les petits désagrément 😀

  • Cyrielle

    7 février 2017 at 16 h 50 min Répondre

    Hello les filles,

    Pour ma part pilule arrêtée début décembre et reprise cette semaine car trop eu de souci de capote, de copain pas patient et si je voulais passer au diu cuivre, la gynéco m’a expliqué que c’était possible mais que attention, quand on est jeune et que nos relations ne sont pas encore forcément stable (et ma relation se casse la figure totalement) en gros les diu ouvrent la voie aux maladies infectieuses quand la pilule elle referme cette voie… Donc c’est une sécurité supplémentaire face au risque BB et au risque IST / MST (et y en a qui ne se voient pas aux dépistages qu’on fait en début de relation… Et demander à un nouveau copain de se faire faire prélever dans l’urètre pour être sûre de lui c’est compliqué) + le risque d’être trompée et de choper une infection qui remontera beaucoup plus vite par les trompes en contact avec le stérilet). Il y a également le fait que le stérilet peut être mal supporté, rejeté, abîmer ou déchirer certains tissus dans le col, il favorise de longues règles douloureuses mais aussi la perte de VRAI sang (contrairement à la pilule) et quand nos analyses.en fer et en plaquettes ne sont pas très bonnes ce n’est pas judicieux pour notre santé.
    Je me suis renseignée sur la sympto mais j’ai pour le moment bien trop peur de me planter et me retrouver avec un bébé à avorter…
    J’ai entendu parler d’une méthode contraceptive à base de cuivre qu utilisaient les égyptiennes et qui apparemment est utilisée en suisse, ce sont de petites boules de cuivre assemblées ensemble et modulables dans le corps, ça n’accroche pas les tissus et n abime donc apparemment pas le corps… Mais ça n’existe pas en France…
    Donc pas d éloge de la pilule mais voilà pourquoi aujourd’hui je me trouve un peu coincée, une relation plus assez stable voire qui se termine, la peur de tomber enceinte au moindre rapport même en capote, et la peur de choper une maladie qui me rendra stérile ou autre beaucoup plus facilement avec le diu qu’avec la pilule…

  • Aurélie

    8 février 2017 at 10 h 01 min Répondre

    Je viens de lire un article qui fait le point sur la libido et la pilule http://m.20minutes.fr/sante/2010203-20170208-pilule-effet-libido
    Enfin des médecins qui ne nient pas que certaines femmes (dont moi) on une baisse de la libido due à la pilule ! J’espère que cela va permettre un meilleur dosage des hormones et une meilleure adaptation du type de contraception à chaque femme.
    Pour autant, comme je l’ai déjà écrit plus haut, les méthodes dites “naturelles” (températures, cycle…) ne sont pas des méthodes de contraception fiables même si elles reviennent à la mode. Le cycle feminin évolue constamment et la vie d’un spermatozoïde peut aller jusqu’à 6 jours !

  • Lo

    12 février 2017 at 10 h 25 min Répondre

    Bonjour moi aussi j’ai arrêté la pilule à 30 ans et aucun autre moyen contraceptif invasif non plus ! j’ai choisi un moyen qui calculait mes cycles et qui me disait quand j’étais fertile ou pas ! pas de préservatif pour mon conjoint mais des périodes d’abstinences d’1 semaine environ et finalement je ne suis tomée enceinte que quand je l’ai voulu à 40 ans donc oui c’est possible de vivre sans pilule ! maintenant c’est un choix de vie et je ne le conseille pas à tout le monde ! J’ai 52 ans et je ne suis toujours pas ménopausée mes cycles sont réguliers et pas de problème particulier niveau hormonal ! Bref chacune est différente 🙂

  • Betty

    20 février 2017 at 19 h 49 min Répondre

    Merci pour ce bel article et à toutes pour vos témoignages qui sont vraiment intéressants !
    J’ai moi aussi arrêter la pilule à cause de fort mal de têtes, jambes lourdes et les autres effets (hypersensibilité, prise de poids etc). Je suis passée au stérilet en cuivre (la pose à cependant était une vraie souffrance pour moi 🙁 ). J’espère que cette méthode sera concluante au fil du temps 🙂 En tout cas, cela fait du bien de ne plus être enchainée à cette fichue pilule !!

  • Aude

    28 février 2017 at 11 h 50 min Répondre

    Merci pour cet article. Je me pose beaucoup de questions sur ce sujet et beaucoup de ce que tu racontes me parle.
    Pour ma part j’ai toujours pris une pilule micro-dosée (ludeal Ge) sans soucis, mais cela fait maintenant plus de 10 ans. Et oui je l’oublie régulièrement. Il est temps de passer à autre chose. Tu fais comment du coup ? Préservatif systématique ? Par symptothermie ?

  • Marie

    2 mars 2017 at 18 h 17 min Répondre

    Bonjour Gala,

    j’ai trouvé ton article très intéressant à lire. Ce sujet de la pilule est très peu, voire jamais, abordé sur les blogs alors qu’il concerne plus de la moitié (dirons-nous) des femmes ! En tout cas merci pour les informations et les conseils car je pense moi-même à arrêter la pilule. Malheureusement c’est comme dans tout, il y a du bon et du mauvais, la pilule est bien pratique dans certains cas mais désagréables dans d’autre et surtout elle “bousille” bien la santé, comme si c’était toujours aux femmes de tout subir c’est bien dommage :/

  • Anne B.

    5 mars 2017 at 17 h 55 min Répondre

    Bonjour !
    Je n’ai pas eu le courage de lire tous les commentaires, mais je vois qu’un certain nombre de lectrices sont sceptiques sur la “méthode” que vous envisagez d’utiliser (et je suis en train d’écouter l’émission sur France Inter)
    Je me dois de préciser que je suis aussi sceptique moi aussi sur cette méthode, car prétendre qu’elle n’a “rien à voir” avec Ogino (“Ces méthodes ne sont pas fiables”), c’est ignorer les principes de la méthode Ogino, dite aussi “méthode des températures”, à savoir qu’elle tenait compte des cycles, des températures, et autres joyeusetés dont nous bénéficions.
    Je tiens donc à supputer que cette pseudo nouvelle méthode contribuera au redressement de la démographie en France (qui n’en a pas besoin, mais passons) car on peut considérer qu’une bonne partie de la génération d’après guerre (dite “baby-boom”) est due à ce bon docteur Ogino, et que j’en suis moi-même une digne représentante (sans parler des retombées psychologiques que cela m’a values de la part de ma mère) ;o)
    Bon courage donc, mais à mon avis, un BON préservatif est immensément plus fiable.
    Cordialement,
    Anne

    • Liha

      21 juin 2017 at 9 h 21 min Répondre

      La méthode Ogino n’a rien à voir avec la méthode des températures !!!

      -Ogino = méthode non fiable : en fonction de la durée des cycles précédents, on détermine un jour d’ovulation probable. ex : mes cycles de l’année dernière ont varié entre 29 et 31 jours. L’ovulation survient 14 jours avant la fin du cycle, donc l’ovulation s’est produite entre J15 et J17. Si je compte 6 jours de vie des spermatozoïdes, je suis tranquille jusqu’à J9. (en réalité, l’ovulation peut survenir plus tôt même si ça n’a jamais été le cas auparavant)

      -méthode des températures = méthode très fiable en post ovulatoire uniquement. La prise de températures quotidienne permet de déterminer l’ovulation de manière très fiable et donc de déterminer la fin de la période fertile. Elle ne permet pas en revanche de déterminer le début de la période fertile (donc si on veut faire cette méthode stricto sensu, il faut faire abstinence de J1 à J17 environ (ovulation+3 jours). C’est pour cela qu’en général les gens préfèrent la méthode sympto-thermique qui associe l’analyse de la glaire cervicale et permet donc de connaître le début de la période fertile.

  • Pauline

    5 mars 2017 at 18 h 28 min Répondre

    Bonjour,

    Suite à l’écoute partielle de l’émission Demain la Veille, sur France Inter, je me demande pourquoi aujourd’hui, en 2017, la contraception est encore et toujours abordée par le prisme de la femme. Les docteurs invités parlaient de leurs patient’es’. Mais, la contraception c’est bien l’affaire de TOUS et surtout du COUPLE dans sa globalité, d’hommes et de de femmes !
    Par ailleurs, je suis effarée de constater la lenteur de l’avancement des recherches sur la contraception masculine… Pour avoir osé aborder le sujet avec quelques professionnels de santé, je me rends compte qu’évidemment, le règne du mâle dans les corps médical, joue pour beaucoup dans cette affaire. Et peut être aussi une question de lobby de l’industrie pharmaceutique ?
    Je ne reviendrais pas sur mon parcours personnelle sur la contraception qui rejoint en de nombreux points les témoignages ci-dessus, mais aujourd’hui pour de nombreuses raisons, je refuse évidemment de prendre la pilule. Je souhaitais surtout mettre en lumière les travaux de médecins toulousains réunis au sein de l’association ARDECOM : http://www.contraceptionmasculine.fr/415312907 . Je pense que leur action sur la recherche autour de la contraception masculine devrait être rendue beaucoup plus visible qu’elle ne l’est actuellement.
    Autre questionnement, pourquoi n’instaurerait pas un moyen de détecter automatiquement les personnes stériles !? Ceci serait un moyen intelligent d’éviter à cette partie de la population de se “camisoler” chimiquement pour rien pendant tout une vie !
    Ravie en tout cas de lire ces nombreux messages qui prouvent que certain”e”s (sauf erreur, je n’ai pas vu de messages d’hommes?) se posent des questions pour faire bouger les choses :)!

  • Catherine

    5 mars 2017 at 23 h 49 min Répondre

    Bonsoir, je n’ai pas lu tous les commentaires désolée.
    J’ai écouté l’émission sur France inter à 17h, j’ai entendu le début de ton témoignage mais pas la fin, du coup je suis venue par ici pour en savoir plus sur la méthode naturelle dont tu as parlé.
    La SYMPTOTHERMIE donc!
    Je la pratique depuis septembre, c’est peu mais déjà 7 cycles quand même et tout va bien 😉
    J’ai choisi d’être suivie par une conseillère que je connaissais déjà, elle pratique depuis au moins 10 ans sans accident.
    Sur Facebook il y a un groupe fermé “symptothermie”, une fois inscrite on peut y poser toutes ses questions (fiabilité, expérience des utilisatrices, questions pratiques sur la méthode…). On y trouve aussi plein de doc.
    Sinon le blog sympto est bien fait aussi.

    Bref, moi je recommande, pourquoi :
    – ogino et certaines apli tentent de prédire l’ovulation à partir de moyennes statistiques. Avec la sympto on observe son propre cycle pour déceler les indices de fertilité. Pas grand chose à voir!
    – pendant la période fertile, on se protège (préservatif, diaphragme, abstinence…), pendant la période infertile c’est la fête du slip!
    – on apprend à mieux se connaître

    Merci pour ton témoignage Gala, et bonne suite!

  • Capucine

    6 mars 2017 at 14 h 29 min Répondre

    Merci pour se témoignage.
    Je n’ai jamais pris la pilule, j’ai eu la chance que ma mère m’ai fait confiance je pense, j’ai bientôt 32 ans.
    Depuis 4 ans j’utilise la symptothermie, la connaissance de son cycle à été pour moi une révélation. Aujourd’hui je partage mes connaissances. Je pense que de plus en plus de femme prenne confiance dans le corps et dans le capacité à gérer leur fertilité, en couple bien sur !

  • MllePe

    12 mai 2017 at 7 h 57 min Répondre

    J’ai arrêté la pilule il y maintenant 4 ans pour toutes les mêmes raisons que toi et en particulier celle d’être mauvaise pour la santé.

    Après l’arrêt j’ai été embêté (vraiment pendant 2 ans)
    On m’a découvert une polykystie ovarienne avec arret des règles et poussée d’acné très importante.
    Mon endocrino me disait que j’avais toujours du avoir eu ce problème, mais que grâce (a cause selon moi) la pilule, je ne m’en était pas rendu compte, vu que la pilule donne de fausses règles régulières pour avoir un cycle redondant (les règles arrivaient toujours un vendredi à 10h00 précise)

    J’ai du prendre un autre traitement hormonale (super … Après 6 mois d’arrêt de pilule) qui m’a donné 10 jolis kg en plus, toujours autant de boutons et aucunes règles a l’horizon, ni même une légère amélioration sur mon bilan sanguin.
    Après 6 mois de ce nouveau traitement, mon endocrino refuse de comprendre que je suis en détresse face à ces kilos en trop, où il me réponds de moins manger (sauf que je ne mange pas plus qu’avant), et ces boutons où il me conseille de voir une dermato.
    Pour terminé par vouloir me prescrire a nouveau la pilule puisque je ne veux pas d’enfants actuellement et que le jour J j’aurai un suivi particulier avec mon gynéco. Je crie au secours dans son bureau, ne comprends pas pourquoi je refuse cette pilule et me propose en solution finale d’augmenter la dose de ce traitement.

    Je refuse, l’envoi balancer en même temps que ce traitement qui m’a fait plus de mal que de bien.

    Changement d’endocrino, qui m’écoute et prends mes doléances en considération. J’arrête de me prendre la tête avec cette absence de règle que je qualifie par “je ne veux pas d’enfants actuellement, donc ne pas avoir ces règles n’est pas un problème”.
    En parallèle je recommence de nouveaux examens avec ma nouvelle endocrino et surtout arrêter de me prendre la tête.

    Et miracle du jour au lendemain tout rentre dans l’ordre par magie. Mon endocrino ne comprends pas mais est contente pour moi. Je devrais juste refaire le point le jour où une grossesse se fait désirer.

    Je surveille mes cycles plus long que la normale grâce à Clue, je suis libre de ne prendre plus aucun traitement et carbure à l’ infusion de sauge et l’HE d’estragon.

    En conclusion 10 ans à prendre la pilule qui, je suis persuadé, a provoqué ce très gros dérèglement qui m’a pourri la vie pendant 4 ans.

    Aujourd’hui j’ai un stérilet au cuivre et en suis très contente.

  • Juju

    28 mai 2017 at 14 h 28 min Répondre

    Coucou !
    Moi je partage ma petite expérience car j’ai arrêté la pilule il y a 2 ans du jour au lendemain. Pourquoi ?
    Comme vous toutes, j’ai entendu que la prise d’hormones artificielles n’était pas bonne pour la santé sur le long terme. Et aussi je voulais savoir où mon corps en était et si il était capable de se gérer seul. Bref, je voulais aussi reprendre un peu le contrôle.

    La réponse :
    – Tout va bien ! Mes règles sont bien régulières
    – Je n’ai jamais eu de problème de pilule du lendemain ou de grossesse non désirée. Comme je fais plus attention et qu’avec mon fiancé c’est devenu une habitude, il n’y a pas ce problème du : “oh mince ! J’ai oublié ma pilule !!!!”
    – Ma libido est au top niveau !!! Ô joie !!!! Avec la pilule c’était “alors de telle date j’ai envie, de telle date j’ai plus envie blablabla …”

    Les inconvénients sont pourtant là

    – Ma peau et tous mes problèmes d’acnée se sont accentués
    – Mes règles sont très douloureuses
    – Depuis je fais de la rétention d’eau (rapport ou pas ?)

    Bilan : je me sens tout de même bien mieux et plus épanouie sans contraception, j’apprivoise mon corps en douceur et accepte les inconvénients qui pour moi font fatalement partis de la vie.

  • Sonia

    19 décembre 2017 at 13 h 28 min Répondre

    Je vous rejoins! C’est notamment en vous lisant que j’ai décidé d’arrêter la pilule. Il faut dire que moi, je la prenais depuis mes 13 ans, car à mes premières règles, j’ai fait une grave hémorragie. Les médecins ont donc jugé prudent de réguler mon cycle avec une pilule oestro-progestative puissante afin de ne plus mettre ma vie en danger. Pendant des années, j’ai donc pris cette pilule très fortement dosée (j’ai oublié son nom), puis j’ai eu de nouveaux pbs suite auxquels j’ai perdu bcp de poids et donc, mes règles. J’ai arrêté de moi même la pilule, ne voyant plus son intérêt. A l’époque, j’étais ado et ma gynéco a poussé les hauts cris : je ne devais sous aucun prétexte arrêter ce traitement, qui, selon elle, garantissait la solidité de mes os ( j’étais en ostéopénie). J’ai accepté. On m’a mise sous Daily G.
    Aujourd’hui, à 36 ans, face aux dangers de plus en plus avérés de la pilule, mes craintes ont ressurgi et se sont renforcées. J’ai déjà obtenu de passer sous Leeloo, car Daily m’occasionnait des maux de tête récurrents. Toujours en ostéopénie, toujours sans règles, j’ai soumis l’idée à ma gynéco d’arrêter. Cette fois, adulte, maître de moi et ayant des arguments forts : j’ai fait des recherches pour voir si, effectivement, la contraception orale agissait sur la densité osseuse. Or, les plus récentes études scientifiques montrent qu’il n’y a aucune corrélation. Surprise! Ma gynéco opine : elle a les mêmes conclusions! Plus rien ne semble donc s’opposer à ce que j’arrête. Pour moi, la balance risques/bénéfices penche plutôt du côté des méfaits (ma grand-mère a fait plusieurs phlébites et quant à moi, j’ai une circulation très mauvaise au niveau des jambes, exerçant un travail de bureau 8 heures par jour). On a décidé ensemble de tenter une fenêtre d’arrêt de 3 mois pendant laquelle je noterai les changements éventuels.
    Que vous dire? Je n’ai pas encore fini ma dernière plaquette que je me sens déjà libérée! Pourtant, je ne sais pas ce qui m’attend, étant dans un cas particulier, car je ne fabrique de moi-même quasiment pas d’hormones. Mais plus de 20 ans sans avoir osé m’affirmer, tenue par cette angoisse des os qui se briseraient si jamais j’arrêtais… Tout ça parce que la médecine prônait l’efficacité de la pilule contre l’ostéoporose… Je suis heureuse aujourd’hui d’avoir osé: osé dire NON, osé soutenir ma position, défendre mon point de vue. Bon courage et bonne route à vous!

  • Justine

    25 avril 2018 at 12 h 25 min Répondre

    Bonjour Gala,
    J’ai une peau à tendance acnéique que la pilule diminuait un peu ces problèmes de peau. Après ma grossesse, j’ai décidé de me faire poser un DIU cuivre mais mon acné s’est intensifié depuis 🙁 est-ce une coïncidence, je ne sais pas. J’aimerais avoir ton témoignage à ce sujet?
    J’hésite à reprendre la pilule, j’ai bien conscience que c’est mauvais pour la santé mais je n’assume pas ma peau d’ado alors que j’ai 30 ans.
    a bientôt.

  • roxou06

    10 juillet 2018 at 10 h 55 min Répondre

    Bonjour 🙂

    J’aime beaucoup cet article… Il y a un gros tabou sur ce sujet parfois je trouve !

    j’ai arrêté il y a deux ans, et en même temps j’ai arrêté le gynéco pour la sage femme et cela a tout changé. Car je me suis sentie vraiment incomprise et seule dans cette décision, autant niveau professionnel que mon entourage. je ne voulais plus de ce poisson dans ma vie (même si je sais que cela a participé à l’émancipation des femmes, mais maintenant il y a d’autres moyens). J’ai en même temps tenté le DIY que mon gynéco n’a pas voulu poser d’où le passage à la sage femme… mais ce fut un échec, donc je suis repassée au préservatif avec mon conjoint, et il l’a bien accepté finalement 🙂 je pense qu’il a senti que j’étais sur de ma décision…. l’arrêt s’est bien passé il y a 2 ans, mais depuis 6 mois, j’ai de gros symptômes pendant ma mauvaise période et mon médecin a essayé de me reproposer la pilule mais pour l’instant je tiens bon 🙂 pour l’acné par contre, rien à faire, j’en ai et cela ne part pas… dommage 🙁

  • Sarah

    24 novembre 2018 at 12 h 33 min Répondre

    Je viens tout juste d’avoir cette prise de conscience, et je me retrouve totalement dans ton article. Les mêmes raisons : confort, facilité, c’est ce qui m’a poussé à continuer, en évitant de trop regarder les conséquences possibles. Et puis un jour on ne peut plus se voiler la face et depuis ce moment là : arrêt brutal, et j’ai envie d’en parler partout autour de moi. Ce petit comprimé est tellement dangereux que je ne comprends pas pourquoi on en parle pas plus. Merci pour ton article, merci de véhiculer tout ça !

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